Um dos mais misóginos dos doutores da Igeja Santo Agostinho, defende que uma mulher violada (ainda que virgem e beata) é sempre responsável pela violação, visto que :
“Si une chasteté ferme et sûre d’elle-même en sort triomphante, la pudeur en souffre cependant, et on a lieu de craindre qu’un outrage qui ne peut être subi sans quelque plaisir de la chair ne se soit pas consommé sans quelque adhésion de la volonté.”
Ou, no caso duma mulher que se suicida após ser violada:
“Mais peut-être n’est-elle pas là ; peut-être s’est elle tuée parce qu’elle se sentait coupable; peut-être (car qui sait, elle exceptée, ce qui se passait en son âme), touchée en secret par la volupté, a-t-elle consenti au crime, et puis, regrettant sa faute, s’est-elle tuée pour l’expier, mais, dans ce cas même, son devoir était, non de se tuer, mais d’offrir à ses faux jeux une pénitence salutaire.”
Ah e quando Deus permite que santas mulheres cristãs sejam violadas, não há problema - por um lado é a vontade divina insondável mas que deve ser aceite sem pensar; por outro, se as mulheres são violadas, a culpa é sempre delas, nem que seja do seu sentimento de orgulho de serem virgens e da sua mania altaneira de afastarem os homens. Portanto, a violação de mulheres piedosas que escolhem a virgindade é plenamente justificada - trata-se de uma provação e de um castigo:
"Vous avez une grande et solide consolation, si votre conscience vous rend ce témoignage que vous n’avez point consenti au péché qui a été permis contre vous. Demanderez-vous pourquoi il a été permis? qu’il vous suffise de savoir que la Providence, qui a créé le monde et qui le gouverne, est profonde en ses conseils; « impénétrables sont « ses jugements et insondables ses voies 1 ». Toutefois descendez au fond de votre conscience, et demandez-vous sincèrement si ces dons de pureté, de continence, de chasteté n’ont pas enflé votre orgueil, si, trop charmées par les louanges des hommes, vous n’avez point envié à quelques-unes de vos compagnes ces mêmes vertus. (....)Ames timides, soyez deux fois consolées; d’un côté, une épreuve, de l’autre, un châtiment; une épreuve qui vous justifie, un châtiment qui vous corrige.
E as poucas desgraçadas que nem sequer tinham um sentimento de orgulho da sua virgindade e mesmo assim são violadas? Bem lá no fundo também elas...
"Quant à celles d’entre vous dont la conscience ne leur reproche pas de s’être enorgueillies de posséder la pureté des vierges, la continence des veuves, la chasteté des épouses, qui, le coeur plein d’humilité 1, se sont réjouies avec crainte de posséder le don de Dieu , sans porter aucune envie à leurs émules en sainteté, qui dédaignant enfin l’estime des hommes, d’autant plus grande pour l’ordinaire que la vertu qui les obtient est plus rare, ont souhaité l’accroissement du nombre des saintes âmes plutôt que sa diminution qui les eût fait paraître davantage; quant à celles-là, qu’elles ne se plaignent pas d’avoir souffert la brutalité des barbares qu’elles n’accusent point Dieu de l’avoir permise, qu’elles ne doutent point de sa providence, qui laisse faire ce que nul ne commet impunément. Il est en effet certains penchants mauvais qui pèsent secrètement sur l’âme, et auxquels la justice de Dieu lâche les rênes à un certain jour pour en réserver la punition au dernier jugement. Or, qui sait si ces saintes femmes, dont la conscience est pure de tout orgueil et qui ont eu à subir dans leur corps la violence des barbares, qui sait si elles ne nourrissaient pas quelque secrète faiblesse, qui pouvait dégénérer en faste ou en superbe, au cas où, dans le désordre universel, cette humiliation leur eût été épargnée? " Santo Agostinho de Hipona - Cidade de Deus- On line em francês aqui
Comentário meu - Tarado de gajo - deveria ter sido alvo de sodomização forçada para testar as suas teorias teológicas sobre o corpo das mulheres.
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