« Nous pouvons penser qu’une présence féminine non subordonnée plus importante aurait pu déchirer le voile de la loi du silence masculin qui, souvent par le passé, a couvert la dénonciation de ces crimes. Les femmes, religieuses ou laïques, seraient par nature plus portées à la défense des jeunes en cas d’abus sexuels, évitant ainsi à l’Eglise les dommages graves causés par ces actes coupables.»
Lucetta Scaraffia
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